Tout commence le jour où Alice, une jeune femme dynamique et audacieuse, retrouve son ami d'enfance, Jérémie. Devenu prêtre de campagne, il lui confie être accablé par le faible nombre de fidèles qui le suivent.
Athée et conseillère en communication, Alice se met en tête de l'aider à sa manière. Amenée par la force des choses à se plonger dans le monde de la spiritualité, du christianisme à l'hindouisme, du taoïsme au bouddhisme, Alice va découvrir une vérité universelle particulièrement troublante. Une vérité concernant l'homme et la clé de son épanouissement, passée sous silence par les religieux, perdue au fil des siècles...
Dans ce nouveau roman émouvant et captivant, Laurent Gounelle nous entraîne dans un univers passionnant à la découverte de ce qui permet à l'homme de s'élever dans une autre dimension, où ses actes sont puissants et sa joie, un état durable.
Il me paraît bien difficile de parler de ce livre tant il a suscité et remué des choses en moi. Ce lotus sur la couverture, symbole de spiritualité dans les religions orientales, donne très bien le ton d'un livre s'approchant du guide de développement personnel romanisé. En fait, je me suis pris une énorme claque, et j'ai bien envie de tendre l'autre joue !
Le résumé me paraissait déjà moins attirant que celui de Le jour où j'ai appris à vivre, seul roman de Laurent Gounelle que j'avais lu jusqu'à présent et pour lequel j'ai eu un gros coup de foudre. Ici, il est question de religion et c'est un sujet qui me met souvent mal à l'aise parce que très sensible. J'ai déjà peur de heurter des gens alors que mes propos sont dénués de rancœur contre qui que ce soit, alors lire un roman où l'auteur semble mettre les pieds dans le plat en comparant tous les préceptes religieux (notamment chrétiens) ça me paraissait juste une idée folle !
Outre cette appréhension, l'opposition marquée entre les 2 protagonistes me paraissait d'entrée très caricaturale : Alice, athée mais très volontaire dans son boulot dans la Com' et Jérémie, force tranquille et prêtre presque fataliste. J'avais peur qu'ils ne soient pas nuancés et donc d'une profondeur peu travaillée ce qui m'aurait profondément déçue de la part de Laurent Gounelle. Heureusement il n'en est rien, et en suivant Alice dans ses démarches et sa compréhension des choses, on s'éveille avec elle. Donc, son évolution est notable au même titre que la nôtre. C'est selon moi la plus grande force de ce livre.
Le personnage de Jérémie est plus en retrait pendant la majorité du livre, ce qui m'a un peu contrariée. Mais une simple phrase m'aura suffit pour revoir mes positions. Le pouvoir des mots et des idées est si fort dans ce livre qu'à plusieurs reprises j'en ai été émue aux larmes. Chaque chapitre apporte son lot de leçon de vie, de morale et d'amour pour les autres malgré les différences de culture et/ou de classes sociales. Certains passages (beaucoup, en fait !) étaient tellement beaux que j'ai surligné des kilomètres de lignes ! Mon budget Stabilo en a pris un coup, mais c'est pour la bonne cause parce que je sais que je relirai ce livre rien que pour ressentir cet élan d'amour inconditionnel envers tout et tout le monde. C'est la seconde force principale du roman.
Enfin, je me pencherai sur l'égo. Ce petit mot de rien du tout à l'origine des plus grands malaises de l'humanité. C'est à cause de lui que l'on se sent heurté par la réussite d'untel, que l'on jalouse une personne de notre entourage, que l'on peut se sentir vexé et j'en passe ! Tous les personnages secondaires incarnent soit l'idée d'un péché, soit affichent clairement un masque d'égo d'après lequel ils s'estiment. A l'échelle du village dans le roman, c'est un microcosme de notre société actuelle qui y est dépeint. Et ça ne ferait de mal à personne de prendre conscience de tout ça et d'amorcer une prise de recul, une remise en question.
Selon moi, ce livre est à mettre entre toutes les mains, à traduire dans toutes les langues et à étudier à l'école. Rien que ça ! L'ouverture, le respect de soi et des autres, le bonheur... tout y est écrit, et chaque moment de lecture est un cadeau, une belle leçon à retenir. Alors j'ajouterai simplement : merci Laurent Gounelle pour ce moment fabuleux que j'ai passé avec votre livre.
Mon Avis
Il me paraît bien difficile de parler de ce livre tant il a suscité et remué des choses en moi. Ce lotus sur la couverture, symbole de spiritualité dans les religions orientales, donne très bien le ton d'un livre s'approchant du guide de développement personnel romanisé. En fait, je me suis pris une énorme claque, et j'ai bien envie de tendre l'autre joue !
Le résumé me paraissait déjà moins attirant que celui de Le jour où j'ai appris à vivre, seul roman de Laurent Gounelle que j'avais lu jusqu'à présent et pour lequel j'ai eu un gros coup de foudre. Ici, il est question de religion et c'est un sujet qui me met souvent mal à l'aise parce que très sensible. J'ai déjà peur de heurter des gens alors que mes propos sont dénués de rancœur contre qui que ce soit, alors lire un roman où l'auteur semble mettre les pieds dans le plat en comparant tous les préceptes religieux (notamment chrétiens) ça me paraissait juste une idée folle !
Outre cette appréhension, l'opposition marquée entre les 2 protagonistes me paraissait d'entrée très caricaturale : Alice, athée mais très volontaire dans son boulot dans la Com' et Jérémie, force tranquille et prêtre presque fataliste. J'avais peur qu'ils ne soient pas nuancés et donc d'une profondeur peu travaillée ce qui m'aurait profondément déçue de la part de Laurent Gounelle. Heureusement il n'en est rien, et en suivant Alice dans ses démarches et sa compréhension des choses, on s'éveille avec elle. Donc, son évolution est notable au même titre que la nôtre. C'est selon moi la plus grande force de ce livre.
Le personnage de Jérémie est plus en retrait pendant la majorité du livre, ce qui m'a un peu contrariée. Mais une simple phrase m'aura suffit pour revoir mes positions. Le pouvoir des mots et des idées est si fort dans ce livre qu'à plusieurs reprises j'en ai été émue aux larmes. Chaque chapitre apporte son lot de leçon de vie, de morale et d'amour pour les autres malgré les différences de culture et/ou de classes sociales. Certains passages (beaucoup, en fait !) étaient tellement beaux que j'ai surligné des kilomètres de lignes ! Mon budget Stabilo en a pris un coup, mais c'est pour la bonne cause parce que je sais que je relirai ce livre rien que pour ressentir cet élan d'amour inconditionnel envers tout et tout le monde. C'est la seconde force principale du roman.
Enfin, je me pencherai sur l'égo. Ce petit mot de rien du tout à l'origine des plus grands malaises de l'humanité. C'est à cause de lui que l'on se sent heurté par la réussite d'untel, que l'on jalouse une personne de notre entourage, que l'on peut se sentir vexé et j'en passe ! Tous les personnages secondaires incarnent soit l'idée d'un péché, soit affichent clairement un masque d'égo d'après lequel ils s'estiment. A l'échelle du village dans le roman, c'est un microcosme de notre société actuelle qui y est dépeint. Et ça ne ferait de mal à personne de prendre conscience de tout ça et d'amorcer une prise de recul, une remise en question.
Selon moi, ce livre est à mettre entre toutes les mains, à traduire dans toutes les langues et à étudier à l'école. Rien que ça ! L'ouverture, le respect de soi et des autres, le bonheur... tout y est écrit, et chaque moment de lecture est un cadeau, une belle leçon à retenir. Alors j'ajouterai simplement : merci Laurent Gounelle pour ce moment fabuleux que j'ai passé avec votre livre.
Et toi, que penses-tu des religions ? de la spiritualité ?
Ce livre te fait-il envie ? Raconte-moi tout !
Plein d'amour sur vous ♡
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